A presque 42 ans, Antonio Barroso a abandonné son emploi dans l’immobilier et travaille sans relâche depuis trois ans pour une cause personnelle qu’il partage avec quelques 300.000 Espagnols, victimes d’un trafic présumé d’enfants adoptés illégalement des années 1960 aux années 1990 : la recherche de ses origines. L’homme est débordé : l’association Anadir qu’il a fondée […]